dimanche 10 octobre 2010

Vadrouille Turolense

Par un dimanche frisquet je me suis dis qu'il était temps de découvrir l'autre partie de la ville, la campagne. Je me suis alors dirigée vers le pont tout près de chez moi qui semblait mener vers des endroits moins habités. Je vis alors le fameux "fleuve" El Turia, chaque jour de cette semaine les élèves m'ont demandé si j'avais vu el Turia, et bien il passe presque sous mes fenêtres mais il est bien caché par la verdure et par la ligne ferroviaire alors non, je ne l'avais pas encore vu. Ce fleuve prend sa source à Albarracin, dans la province de Teruel. Mais ne vous imaginez pas la Loire, c'est bien plus petit, alors peut-être est-il plus grand à Valence mais j'en doute un peu!
Mes péripéties rurales ce sont bien vite achevées lorsque j'ai vu le nuage noir qui me paraissait se diriger droit sur la ville. Et puis les abords du fleuve n'étaient pas des plus intéressants. Je suis retournée me perdre en ville, dans le flot des touristes du dimanche.
Je crois que le mieux pour s'approprier une ville c'est de se laisser le temps de la découvrir. Rien de mieux que d'oser prendre les petites rues sans savoir où elles débouchent, on peut parfois avoir de belles surprises...

1 commentaire:

Aurélie, ta collègue italienne :D a dit…

Je te le confirme, c'est la meilleure des technique !